vendredi 22 janvier 2016
jeudi 21 janvier 2016
Je suis scout
Je fais parti des Scouts et Guides de France et depuis quelque temps, je suis même devenu chef scout. Ce fut une grande joie pour moi. Ainsi,J'ai pu mesurer l'importance d'avoir des responsabilités et de devoir gérer une équipe de jeunes (15).
mercredi 20 janvier 2016
mardi 19 janvier 2016
lundi 18 janvier 2016
La pesée des génisses
Avec ma classe de 2nde pro, nous avons fait un TP (Travaux Pratiques) sur la pesée des génisses de la nurserie de l'exploitation du lycée.
vendredi 15 janvier 2016
La tonte de la ligne de dos des veaux
Avec notre classe de 2nde pro, nous avons réalisé un TP (Travaux Pratiques) à la ferme du lycée sur la tonte de la ligne du dos des veaux.
mercredi 13 janvier 2016
Le cabas du coin...
L'exploitation de notre lycée fait partie d'une association qui se nomme : le cabas du coin.
Le Cabas du Coin est un point de vente collectif qui allie qualité et convivialité. L’objectif d’un point de vente collectif (PVC) est de mettre en relation directe le producteur et le consommateur.
dimanche 10 janvier 2016
Poésie du matin
Un matin
Dès le matin, par mes grand'routes coutumières
Qui traversent champs et vergers,
Je suis parti clair et léger,
Le corps enveloppé de vent et de lumière.
Je vais, je ne sais où. Je vais, je suis heureux ;
C'est fête et joie en ma poitrine ;
Que m'importent droits et doctrines,
Le caillou sonne et luit sous mes talons poudreux ;
Je marche avec l'orgueil d'aimer l'air et la terre,
D'être immense et d'être fou
Et de mêler le monde et tout
A cet enivrement de vie élémentaire.
Oh ! les pas voyageurs et clairs des anciens dieux !
Je m'enfouis dans l'herbe sombre
Où les chênes versent leurs ombres
Et je baise les fleurs sur leurs bouches de feu.
Les bras fluides et doux des rivières m'accueillent ;
Je me repose et je repars,
Avec mon guide : le hasard,
Par des sentiers sous bois dont je mâche les feuilles.
Il me semble jusqu'à ce jour n'avoir vécu
Que pour mourir et non pour vivre :
Oh ! quels tombeaux creusent les livres
Et que de fronts armés y descendent vaincus !
Dites, est-il vrai qu'hier il existât des choses,
Et que des yeux quotidiens
Aient regardé, avant les miens,
Se pavoiser les fruits et s'exalter les roses !
Pour la première fois, je vois les vents vermeils
Briller dans la mer des branchages,
Mon âme humaine n'a point d'âge ;
Tout est jeune, tout est nouveau sous le soleil.
J'aime mes yeux, mes bras, mes mains, ma chair, mon torse
Et mes cheveux amples et blonds
Et je voudrais, par mes poumons,
Boire l'espace entier pour en gonfler ma force.
Oh ! ces marches à travers bois, plaines, fossés,
Où l'être chante et pleure et crie
Et se dépense avec furie
Et s'enivre de soi ainsi qu'un insensé !
Qui traversent champs et vergers,
Je suis parti clair et léger,
Le corps enveloppé de vent et de lumière.
Je vais, je ne sais où. Je vais, je suis heureux ;
C'est fête et joie en ma poitrine ;
Que m'importent droits et doctrines,
Le caillou sonne et luit sous mes talons poudreux ;
Je marche avec l'orgueil d'aimer l'air et la terre,
D'être immense et d'être fou
Et de mêler le monde et tout
A cet enivrement de vie élémentaire.
Oh ! les pas voyageurs et clairs des anciens dieux !
Je m'enfouis dans l'herbe sombre
Où les chênes versent leurs ombres
Et je baise les fleurs sur leurs bouches de feu.
Les bras fluides et doux des rivières m'accueillent ;
Je me repose et je repars,
Avec mon guide : le hasard,
Par des sentiers sous bois dont je mâche les feuilles.
Il me semble jusqu'à ce jour n'avoir vécu
Que pour mourir et non pour vivre :
Oh ! quels tombeaux creusent les livres
Et que de fronts armés y descendent vaincus !
Dites, est-il vrai qu'hier il existât des choses,
Et que des yeux quotidiens
Aient regardé, avant les miens,
Se pavoiser les fruits et s'exalter les roses !
Pour la première fois, je vois les vents vermeils
Briller dans la mer des branchages,
Mon âme humaine n'a point d'âge ;
Tout est jeune, tout est nouveau sous le soleil.
J'aime mes yeux, mes bras, mes mains, ma chair, mon torse
Et mes cheveux amples et blonds
Et je voudrais, par mes poumons,
Boire l'espace entier pour en gonfler ma force.
Oh ! ces marches à travers bois, plaines, fossés,
Où l'être chante et pleure et crie
Et se dépense avec furie
Et s'enivre de soi ainsi qu'un insensé !
Poésie d'Émile VERHAEREN
vendredi 8 janvier 2016
La Ferme du lycée
lundi 4 janvier 2016
Retour sur la soirée de noel
Lors de la soirée de noël qui s'est déroulée en décembre, un atelier photo a été organisé. On en a donc profité, voici tous les membres de notre équipe en tenue de soirée !
samedi 2 janvier 2016
Le centre équestre Sagien
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